Abi [Abandonné] [en cours, je dois vraiment allez dormir]

I d e n t i t é

N o m : Henderson
P r é n o m : Abigaëlle
 g e : 20
D a t e d e N a i s s a n c e : 24 décembre 1989

V o t r e C a s

G r o u p e S a n g u i n : O-
P h o b i e s : Agoraphobic
M a l a d i e : Aucun diagnostic jusqu'à présent. On peut toutefois deviner que Abi n'est pas totalement normale.

P a r t i c u l a ri t è s : Avec un peu de patience, quelques personnes sont capable d'avoir une conversation relativement normale avec elle. Sinon, oubliez ça. Appart ça, elle est toujours en train de penser qu'elle est malade. Toujours. Jusqu'à s'inventer inconsciemment une maladie chaque jour. On appelle communemment ce genre de personne, des hypocondriaques. Ça en devient presque lassant. Il en résulte que même les docteurs ne distinguent plus le vrai du faux, il est donc impossible de savoir vraiment si elle souffre vraiment d'une maladie puisque à force, les symptômes deviennent réels.

A u t r e s : Son père est le père de sa mère. Eh oui. Donc on ce fait facilement à l'idée qu'il est asbolument normal que l'enfant produit risque d'être un peu étrange. Elle se parle souvent à elle-même. Un peu trop souvent. Même que ça deviens quasiment étrange, vu qu'elle n'a PAS d'ami imaginaire (vous voyez mon sarcasme de la fille étrange parce qu'elle n'a PAS d'ami imaginaire ­è.è) Ah oui et il est très propable que vous aurez peine à la voir quand elle se tient sans bouger devant un mur blanc.

C o m m e n t v o u s r e s s e n t e z v o u s f a c e à v o s s o u c i s ? Elle ne comprend absolument rien de ce qui ce passe dans sa tête, ni encore moins en dehors. Abi est constamment en train de
V o t r e Description

P h y s i q u e : Abi est très petite, en tout cas pour la moyenne des filles de son âge. Étrangement, ce phénomène c'est développer à la suite d'un grand renfermement intérieur, l'obsession de se faire si minuscule par rapport aux autres et à sois-même, autant mentalement que physiquement. Elle voulait tellement n'être plus qu'une infime parcelle de vie que son corps à tout bonnement décidé d'arrêter de grandir. Elle est blême, comme tout être vivant dans un établissement clos, sans s'exposer au soleil. Sa peau n'est pas juste blanchâtre, elle est presque transparente. Ses veines bleutées font surface, comme des longs ruisseaux d'eau coulant le long de son corps et lui donne l'apparence d'un ciel d'hivers laiteux, qui laisse vaguement passer la lumière du soleil. D'ailleurs toute exposition au soleil, aussi minime soit-elle, rend la couleur grisâtre et fade, comme un halo de nuages s'opposant à la clarté. Pour ses yeux, c'est relativement pareil. Sans être toutefois anormaux, ils sont gris-bleu, presque blancs (dépendemment de l'angle). Encadrés par deux grandes fentes et d'une multitude de cils, son regard est envoûtant, non par sa couleur mais par ce qu'il inspire; le vide. Vous savez, chez bien des personnes, le regard veux tout dire, et on peut facilement lire dedans comme dans un grand livre ouvert. Mais pas le sien. Rien. Absolument rien. Ni étincelles, ni éclairs, ni rien rien rien rien. Bon vous avez sans doute compris. Et comme si chez elle tout était quasiment partit en fumée, comme si elle n'était plus qu'un vulgaire brouillard, la couleur de ses cheveux s'harmonise avec le reste de son corps. Aussi fragile qu'une poupée en porcelaine, aussi douce et aussi grosse que celle-ci. Sa bouche pêche en forme de coeur, ses pommettes roses qui soulignent son visage à la perfection et qui sont sans doute la seule partie de son corps qui ne soit pas dénuée de couleur, ses sourcils toujours froncés, comme si jamais la joie ne pourrait parcourir, quelque peu soit-elle, ce visage d'ange dont Abigaëlle déteste la complexité et la délicatesse. Jamais son effort de se faire transparente ne sera récompensé si son corps se démarque comme cela des autres. Ne mangeant que très peu, souvent jamais, elle est d'une maigreur presque effrayante. Tout ce relis donc qu'à une seule et unique chose pour elle; disparaître.

C a r a c t è r e : On peux la décrire comme une page blanche. De l'extérieur bien sûr. Elle démontre une absence étonnante de sentiments ou d'intérêts quelconque, souvent muette de peur ou d'indifférence. Mais l'intérieur est bien plus complexe que ça. C'est une tempête de haine de d'incompréhension qui déferle dans son enveloppe charnelle. Tiraillée d'un bord à l'autre de de questions universelles...

V o t r e S y m b o l i q u e

Ouvrez Paint, faites un bref symbole qui pourrait vous représenter. Allez sur ImageShack, hébergez l'image et insérez la dans cette partie. C'est ce qui vous représentera, pour les psychologues.

Et à la suite, racontez nous un peu de votre histoire (minimum 5 Lignes). Votre enfance, tout.

H o r s - S u j e t

D' o ù a v e z v o u s c o n n u P s y c h o s i s ?
Q u ' e n p e n s e z v o u s ?