Psychosis
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 Mister V.E. ! [ Psychose ; Inhabituel ]

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Emmanuël de Montaigne

Emmanuël de Montaigne


Messages : 14
Maladie Maladie : Hypocondrie.
Phobies Phobies : La proximité avec les nids à microbes, c'est-à-dire à peu près tout.
Particularités Particularités : Il ne porte jamais deux fois la même tenue. Jamais. Ah, mais vous parliez sûrement de son hétérotaxie ?

Dossier Psychiatrique
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MessageSujet: Mister V.E. ! [ Psychose ; Inhabituel ]   Mister V.E. ! [ Psychose ; Inhabituel ] Icon_minitimeDim 11 Oct - 22:11

« Dieu créa l'homme à son image. » Moïse.

Nom : De Montaigne.
Prénom : Victor-Emmanuël, mais la plupart des gens n’utilisent que l’un ou l’autre.
Âge : Huit ans.
Date de Naissance : 29 Juin 2001.


« On juge l'arbre à ses fruits. » Saint Matthieu.

Groupe Sanguin : O -.
Phobies : Conformément à sa maladie, Victor-Emmanuël ne supporte pas qu’on le touche, qu’on lui souffle dessus ou même qu’on le pousse contre quelque chose qu’il n’aurait au préalable pas aseptisé. Plus qu’insupportables, ces moments le font entrer dans une telle hystérie qu’il peut en devenir rapidement incontrôlable – sans compter qu’il se mettrait à tousser l’instant d’après en tombant raide sur le sol, prêt à cracher du sang et ses poumons. Toutes personnes ayant dus l’examiner ont d’ailleurs été soumis à un relooking obligatoire, tous frais payés par les parents du garçon. Chemise, pantalon, veste, chapeau, gant, masque.. Passer ne serait-ce que quelques secondes à moins d’un mètre du blondinet oblige la personne concernée à revêtir une panoplie immaculée et traitée à outrance, sous peine de devoir subir une crise d’agonie de la part du jeune hypocondriaque.
Maladie : Nous y voilà. Victor-Emmanuël souffre d’hypocondrie. Couvé depuis son plus jeune âge par ses parents à cause d’une maladie, la première, réelle, diagnostiquée et référencée, mais totalement inoffensive, le garçon s’est mis à s’imaginer des malformations, pathologies et autres infections toutes plus invraisemblables les unes que les autres. Persuadé de souffrir d’un mal que personne n’arrive à diagnostiquer, il se protège constamment du Monde extérieur de peur d’envenimer sa situation, se prostrant dans une prévention bien plus délétère que ce qu’il s’obstine à s’infliger. Lorsque quelqu’un arrive néanmoins à outrepasser ses boucliers et autres barrières de sécurité, Victor-Emmanuël peut alors réagir de manière extrême, en un sens comme dans l’autre : soit il prendra cette attaque plutôt bien, et se mettra uniquement à tousser en recouvrant sa bouche de son masque, soit il se met en tête que les microbes qui viennent d’entrer en contact avec sa noble personne sont mortels, et alors son cerveau détraqué fera le reste, persuadant son cœur d’expulser cette chose de n’importe quelle manière. Tombant sur le sol, agonisant, il se mettrait à avaler des cachets sibyllins, victime de spasmes et d’une toux si violente qu’il se mettra rapidement à vomir du sang. Le cas le plus dangereux que l’on ait eu à déclarer à son sujet fut le jour où, victime d’une hallucination qui le faisait souffrir au-delà du supportable, il tenta de mettre fin à ses jours en sautant de la fenêtre de sa chambre. Heureusement, sa mère intervint à temps, et ce fut grâce à Dieu la seule fois où l’on ait eu à se plaindre d’une réaction aussi radicale.
Particularités : Pour ne rien arranger, Emma (son surnom le plus courant, allez savoir pourquoi ça et pas autre chose) est hétérotaxe. Maladie innée et rare qui touche un enfant sur un milliard à sa naissance, elle n’est néanmoins ni mortelle ni particulièrement préoccupante, à ceci près qu’elle entraine certains problèmes respiratoires si la personne fait trop d’exercice physique. Qu’est-ce que l’hétérotaxie ? La maladie des organes inversés. En outre, elle peut être partielle ou totale – c’est la deuxième solution qui a touché le chérubin. Du coup, son cœur se trouve à droite de son buste, à l’instar de son estomac, lorsque son foie et son appendice, entre autre, se trouvent à gauche. Rien d’handicapant, donc. Mais les parents de Victor considérèrent tout de même ce dernier comme particulièrement fragile, et ce quoique puisse en dire Freud, et sa psychologie infantile fit le reste.
Autres : Considérez ça ou non comme une tare, mais Victor-Emmanuël se met inconsciemment à parler en Français dés qu’il ne veut pas répondre à une question. Il pense être sincère et ne pas esquiver le fin fond du problème, mais son encéphale, là encore, prend le relais et l’oblige à se protéger, encore et toujours.

Comment vous ressentez-vous face à vos soucis ? Emma se considère comme un grand malade incompris, et aimerait qu’un docteur particulièrement doué vienne à bout de cette pathologie aussi rare que destructrice. Il n’a certainement pas besoin d’un psychologue pour ça, et trouve totalement déplacé qu’on l’oblige à en voir, ne pensant pas résoudre son cas de manière aussi primaire. Mais il est jeune, et si ses parents pensent que c’est une manière de démêler le nœud qui lui dévore les entrailles, alors il s’y plie sans trop de mal. Tant qu’à la fin, on lui extrait sa tumeur, ça lui va.


« Tu es poussière et tu retourneras en poussière. » Moïse.

Physique : Du haut de ses 1m39, c’est-à-dire 4 centimètres de moins que la moyenne (ça paraît futile comme ça, mais lui, ça le complexe énormément ; le besoin d’excellence de sa mère, tout ça..), Emma est un gosse complexé qui pourtant pourrait être qualifié d’irréprochablement irréprochable. Impeccablement habillé, impeccablement coiffé, une tenue impeccable, une expression à la fois neutre et polie impeccable.. Bref, ce gosse a une apparence.. bah oui, impeccable. Irréprochable, pour ne pas me répéter. Et pourtant. Il se sent mal, très mal dans sa peau. Complexé à mort, donc. La raison est sans aucuns doutes psychologique, sa mère lui ayant fait du bourrage de crâne pour mieux le lobotomiser et le remplir à nouveau de concepts « parfaits » que son fils se devait d’atteindre pour devenir quelqu’un de bien. Et Victor-Emmanuël désire être quelqu’un de bien, du fond du cœur. Blond miel vénitien aux yeux bleus, le stéréotype même, le modèle aryen si prisé, qui, sur son visage innocent et juvénile, impose un mélange harmonieux, poussant le garçon à alimenter sa condescendance presque innée, merci à son éducation. Sa mère, loin de culpabiliser pour si peu, se tue d’ailleurs à répéter que son fils aimé est l’œuvre d’art de toute une vie. De toute sa vie, en fait, mais son amour obsessionnel et maternel l’empêche de penser sciemment qu’une autre femme puisse mettre au Monde enfant si exceptionnel que le sien. Cela le poussa à prendre soin de lui, avant même qu’il ne se retrouve embarqué dans sa névrose obsessionnel – et par-là même qu’il s’oblige à prendre au minimum cinq à six douches par jour. Lisses mais incroyablement fins, ses cheveux mi-longs sont souvent laissés à l’abandon après le passage obligé de la brosse, mais il ne s’en porte que mieux : domptables et modelables à souhait, ils restent la plupart du temps dans leur coiffure initiale, et sa frange rebelle vient dissimiler des bribes de son regard. Regard qu’il a incroyablement profond, d’ailleurs ; si l’on pourrait l’imaginer inexpressif et vide suite à sa psychose, le garçon démontre rapidement le contraire. Son visage et ses yeux à tendance gris connaissent une palette d’expressions incroyable et extrêmes, le genre à prendre à l’estomac lorsque l’émotion devient trop forte. Victor-Emmanuël est maigre, chose qui l’agace aussi d’ailleurs, parce qu’il ne serait certainement pas satisfait avant d’être à la limite de l’anorexie : tout le monde sait que le poids entraîne des maladies au moins aussi énorme que soi. Heureusement pour lui, il a été élevé dans le plaisir de la bonne chère et mange suffisamment pour se stabiliser à un poids pas réellement alarmant, même s’il est obligé de prendre des vitamines pour tenir le coup – mais en soi, ça ne le dérange absolument pas ; plus grand sera le nombre de médicaments qu’il avalera, mieux il se portera. Son cou est souvent entouré d’un masque qu’il ne mettra pas une seconde à enfiler lorsqu’il jugera le danger trop grand, et dans ses poches, côtoyant boîtes et gélules, remuent des antiseptiques, des solutions hydroalcoolique en spray et en crème, émettant régulièrement un tintement rassurant que seul un hypocondriaque peut savourer à sa juste valeur. Enfin, ses ongles sont toujours coupés à la perfection de manière à ne jamais emmagasiner de microbes, et il est incroyablement souple, compensant sa force physique quasiment nulle.

Caractère : Victor-Emmanuël est d'une nature rêveuse, tournée vers la nostalgie du passé, vers la mère, vers la famille : tout en instinct, tout en protection ou défense de son être vis-à-vis de l'extérieur, il possède une vie intérieure riche, une imagination fertile voire même infinie, une propension à éviter tout risque inutile, à rechercher la sécurité en ne se dévoilant que lorsque la confiance est là, une nostalgie du passé pour le sentiment de bien-être qu'il lui rappelle.
Incontestablement émotif, Emma est un sentimental, qui s’appuie beaucoup plus sur ses nerfs et ses aléas neuroscientifiques que sur son cerveau, qui semble davantage débordé par ses utopies et ses rêveries que par une quelconque raison qui, même si elle ne serait qu’enfantine, saurait mettre un terme à la mascarade qui semble régir sa vie. Imaginatif, et c’est le moins qu’on puisse dire, Emmanuël semble décidé à se créer un Monde à part entière avant de mourir, succombant à cette maladie qui le ronge peu à peu et qui l’oblige à s’échapper davantage chaque jour durant, histoire de penser à autre chose que cette douleur ambivalente. Mais Victor n’en perd pas autant pied : connecté à la réalité, il passe néanmoins des heures à rédiger un décor et des personnages à cet univers qu’il aimerait mettre en place avant de rendre son dernier souffle. Rêveur et poète, donc, le garçon possède d’ailleurs un certain don pour l’écriture, maîtrisant des mots que la plupart des enfants de son jeune ne connaisse même pas d’ouïe. Son éducation stricte n’y étant pas étrangère, Victor y voit là un privilège qu’il ne considère qu’à demi-teinte ; trop jeune, sans doute, pour se rendre compte de la chance que sa naissance lui a accordée. Paisible et sensible, Victor-Emmanuël est excessivement indolent, toujours calme et souriant à partir du moment où on ne l’attaque pas de front. Mais son calme et sa patience sont à double tranchant : Emma a beau le cacher comme il le peut, c’est un angoissé à l’extrême, d’où sa phobie (et sa maladie) qui le bouffent totalement, l’empêchant de vivre correctement et l’obligeant désormais à vivre loin des jeunes gens de son âge d’une manière somme toute cruelle. Être enfermé dans un établissement psychiatrique à l’âge de huit ans n’est pas vraiment souhaitable, n’est-ce pas ? Par-là même craintif et carrément passif, Victor-Emmanuël n’a qu’un intérêt limité qui se définit à sa personne d’abord, et aux autres ensuite dans l’optique où sa malade le laisse tranquille assez longtemps pour le lui permettre. Mais dans ce dernier cas, Emma est terriblement fidèle, et d’une générosité naturelle à en faire pleurer les chats. Victor de toute façon besoin d’un entourage, aussi bien amical que médical : dépendant, vulnérable et craintif, Emma ne pourrait aisément pas vivre seul, ou même se débrouiller sans soutien. Ses parents l’ont d’ailleurs bien compris, et n’ont pas hésité à l’envoyer à Psychosis en connaissant l’excellente réputation de cet établissement et surtout de son directeur. Vivre à des kilomètres de sa famille a tout d’abord été un coup très dur pour le casanier blondinet, mais son hermétisme lui permit, entre autre, de s’accoutumer à cette solitude qu’il creusait un peu plus chaque jour en s’enfonçant dans son trou. Son irréalisme le tapissa alors de microbes mortels et offensifs, l’obligeant à se faire de plus en plus fuyant avec le temps, et son entêtement s’étendit alors à sa propre déchéance, l’empêchant de remonter l’échelle de lierre que, parfois, certains tentent de lui envoyer. Les psychologues n’arrivent pas à lui enlever cette idée de sa tête, à lui faire comprendre qu’un chirurgien ne pourra rien à son état, qu’il était le seul maître de sa vie. Chose que le gamin, totalement passéiste pendant ses séances, repousse en bloc sans même envisager la possibilité que ce fut vrai. Heureusement pour lui, sa tendresse innée et son romantisme infantile, amusant la galerie et froissant parfois sa susceptibilité, rattrape cet agacement que ressentent au moins une fois tous ses vis-à-vis, sans exception. Car Victor-Emmanuël, en tant que fier descendant de la noblesse française, ne peut que se montrer arrogant et condescendant envers les personnes qui osent s’attaquer à ses nerfs. Dévoué, à sa cause comme à celle à laquelle on peut l’accrocher, il se montre d’une ambivalence absolue dans l’insupportable et l’adorable. Cette situation, souvent pesante, fait d’Emma un gamin qui, entre autre, ne peut se rapprocher des adultes en obtenant leur faveur comme d’autres enfants de son âge pourraient aisément le faire. Condamné à se situer dans une frontière douloureuse, il s’en retrouve lunatique voire caractériel, passant du rire aux larmes en un clin d’œil. Et bien souvent, c’est sa gourmandise qui le rassure et le supporter dans ces épreuves bien trop compliquées pour son immaturité : une tablette de chocolat, une feuille de papier, un stylo et quelques lignes suffisent à le rassurer dans sa marginalité.


« Au commencement était le Verbe. » Saint Jean.

Mister V.E. ! [ Psychose ; Inhabituel ] Emma


- Qu’est-ce que vous y voyez ? J’ai été clément, j’ai fait quelque chose de facile. Le rond blanc c’est moi, le noir c’est le reste. Et ça m’infecte. Vous voyez ? Là, ça, là. Je vais mourir jeune vous savez, en partie à cause de vous. Vous vous sentez coupable ?

Victor-Emmanuël n’a pas eu une vie particulièrement longue, aussi ce passage sera-t-il bref. Il est né à la fin d’un mois de Juin plutôt chaud, premier d’un couple de Français expatrié en Angleterre. Pas eux, non, mais plutôt leurs ancêtres. La révolution française marqua un tournant conséquent dans la vie des centaines de nobles à cette époque, et certains fuirent pour leur survie, abandonnant Roi et patrie sans compassion. Les De Montaigne, royalistes, choisirent un bateau pour les Royaume-Unis où ils s’installèrent et restèrent durant trois siècles, jusqu’à la naissance du jeune Victor-Emmanuël qui fut le premier touché d’une consanguinité traditionnelle qui durait depuis bien trop longtemps maintenant. Dés sa naissance, il fut déclaré hétérotaxe, persuadant ses parents de le couver plus que nécessaire, de le couper d’un Monde extérieur qui pourrait lui être fatal. Pourtant, la seule chose susceptible de venir à bout de la fraiche vie du garçonnet serait un effort physique un peu trop laborieux et donc délétère – ce qui était facilement évitable si l’on expliquait clairement la situation au jeune concerné. Mais ce dernier n’eut pas cette chance, et, longtemps, il ne connut rien d’autre que les quatre murs du manoir familial, tournant en rond dans une chambre close dont les murs bleutés nourrissait peu à peu une psychose qui signerait définitivement l’arrêt de mort de l’enfance d’Emma, qui n’avait de toute façon jamais véritablement existé.
Son hypocondrie l’accabla avant même qu’il n’apprit la signification du mot ‘liberté’, et très vite ses journées déjà macabres et rébarbatives devinrent lourdes, douloureuses, puissantes en vacuité. Son lit fut son meilleur ami, et sa chambre se vida peu à peu d’objets superflus pour ne contenir que l’essentiel, cet essentiel même qui ne pourrait aggraver sa maladie. Alternant larmes, spasmes, toux, vomissements et mutisme, Victor consulta un nombre assez incroyables de médecins, qui ne purent, les uns comme les autres, diagnostiquaient un quelconque mal. Et pour cause : Emma ne souffrait de rien d’autre que de son esprit limité par l’amour de ses parents, par la prévention constante de son propre encéphale suicidaire. Rapidement, on lui expliqua que tout ce qui se passait était dans sa tête : il n’était pas difficile que le blondinet, armé de son imagination fertile et infinie, se soit crut bien plus en danger qu’il ne l’était réellement. Mais, très vite, Victor se braqua. C’était insensé. Comment pouvait-il inventer ces douleurs insupportables ? Comment pouvait-il se forcer à souffrir perpétuellement, de manière plus ou moins intenses ? Les années passèrent, et son cas s’aggrava considérablement. Désormais, sa gorge usée par les toux violentes que le garçon lui imposait dégageait par salves du sang aussi sain que noble. C’est certainement ce détail qui décida la mère d’Emmanuël à l’envoyer consulter. S’ils avaient repoussés cette éventualité jusqu’au bout, avec son mari, ils ne pouvaient désormais plus fermer les yeux : s’ils voulaient conserver leur fils unique, il fallait prendre des mesures expéditives..
Une amie de la sœur du paternel connaissait un établissement réputé au directeur reconnu : Psychosis. Situé aux Etats-Unis, ils pouvaient toujours prétendre avoir envoyé Victor-Emmanuël dans une école privée particulièrement coûteuse en évitant ainsi les voisins, connaissances et autres curieux d’être mis au courant. Emma, curieusement, ne broncha pas : persuadé que les médecins du continent libre, à n’en pas douter plus compétents, arriverait à diagnostiquer ses maux, il accepta ce transfert avec sérénité, à condition que le voyage se fasse dans la propreté et la sécurité. Il ne désirait rien d’autre que guérir, après tout ; il n’allait donc pas faire preuve de mauvaise volonté lorsqu’on lui proposait une solution, n’est-ce pas ?

« La vie n'est qu'un souffle. » La Bible.

Où avez vous connu Psychosis ? Un de vos partenaires.
Qu'en pensez-vous ? Ma foi, je ne me serais pas inscrit si je ne trouvais pas le scénario (et le design) attirants. Si en plus de ça vous organisez des events, bah je signe où vous voulez.
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Darren Lodge
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Darren Lodge


Messages : 64
Maladie Maladie : Ancien Schyzophrène à tendance paranoïaque.
Phobies Phobies : Du Lait, des Arraignées et du Vide.
Particularités Particularités : Adore se faire appeller par d'autres prénoms..

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MessageSujet: Re: Mister V.E. ! [ Psychose ; Inhabituel ]   Mister V.E. ! [ Psychose ; Inhabituel ] Icon_minitimeJeu 22 Oct - 12:40

Fiche validée, excellent jeu le Malade Imaginaire Smile
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Mister V.E. ! [ Psychose ; Inhabituel ]
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